26 Juin 2015
As-salãmu `alaykum wa Rahmatu Llãhi mes douces. Nous avions vu le réel danger des vaccins remplaçants le DTPolio ICI
Aujourd'hui, Allahu a'lam, cela a fait ses preuves par le décès de la petite Ayana...
Le 23/06/2015 – 06h00 Angers (Breizh-info.com) –
Voilà une affaire qui pourrait relancer le débat sur la vaccination obligatoire, à l’heure ou le professeur Henri Joyeux récolte des centaines de milliers de signatures pour sa pétition réclamant le retour du Vaccin DTP trivalant au nom de la protection sanitaire des enfants : Ayana, une petite fille de 7 mois, est actuellement plongée dans le coma au CHU d’Angers, et devrait voir sa respiration mécanique stoppée, les médecins ayant jugé que les dommages au niveau du cerveau sont irréversibles. Ses parents, qui refusaient sa mort programmée et qui avaient même porté l’affaire en référé, se sont en effet finalement résignés dans la douleur et la tristesse à laisser partir leur enfant.
On sait deux choses sur la dégradation de l’état de santé de la petite Ayana :
le 4 mai dernier, ses parents l’ont emmenée se faire vacciner contre le DTP + coqueluche + haemophilus B + hépatite B + 13 souches de pneumocoques , les pneumocoques étant responsables de certaines pneumopathies, certain type de méningites, et certaines otites (pas toutes loin de là) à la PMI (protection maternelle et infantile) de Sées.
Dans la nuit du 4 au 5 mai, suite à une poussée de fièvre impressionnante, et alors que les parents avaient appelé le 15, les médecins régulateurs n’ont pas jugé nécessaire de faire prendre en charge le bébé.
Selon Maître Ludot, l’avocat des parents de la petite Ayana, « cette enfant a eu le cerveau détruit par une hyperthermie maligne. C’est la fièvre de 42,5 qui est à l’origine de cette destruction. Si cette fièvre avait été traitée en temps et en heure, nous ne serions pas au chevet d’un bébé qui est sur le point de mourir».
L’avocat évoque aussi la responsabilité de vaccins dans l’état de santé de l’enfant.
Serge Rader, pharmacien, appuie également la thèse de la responsabilité du vaccin: « Dans l’Infanrix Hexa, il y a en réalité 6 valences mais 8 souches et dans le Prevenar, treize, comment voulez-vous que le système immunitaire d’un nourrisson qui n’est même pas encore formé résiste à un tel choc ? C’est criminel» affirme-t-il. « Des cas semblables ont eu lieu en Italie, avec morts subites dans les 24H et autisme (23.9.2014 Tal de Milan). La pharmacovigilance italienne annonce 3,7 fois plus d’accidents neurologiques avec cette double vaccination simultanée. Quant au Pneumo 23 (les 13 mêmes que Prévenar sauf le 6a), injectable en France à partir de 2 ans, il a été tout simplement retiré du marché en Italie pour inefficacité en juillet 2013….».
Voici ce qu’on peut lire sur la notice du Prévenar 13 : « L’analyse des taux de déclaration depuis la commercialisation suggère un risque potentiel accru de convulsions, accompagnées ou non de fièvre et d’épisodes d’hypotonie-hyporéactivité (EEH) en cas d’administration concomitante de Prevenar 13 et d’Infanrix hexa par rapport à l’administration de Prevenar 13 seul ».
« Une fièvre supérieure à 39,5°C a été observée respectivement chez 2,6 % et 1,5 % des enfants recevant Infanrix hexa avec ou sans Prevenar » indique également le site Doctissimo .
« les effets indésirables rares ( pouvant survenir pour moins d’une dose de vaccin sur 1000 ) sont : convulsions y compris celles dues à une température élevée », ce qui est arrivé à la petite Ayana.
Au sein de l’Union européenne, la France persiste à rendre obligatoire la vaccination des nourrissons, alors que la méfiance vis à vis des vaccins tend à se généraliser.
L’Italie, la Belgique et le Portugal sont les trois autres pays où au moins une vaccination est obligatoire.
Pour le moment, les parents ont déposé une plainte contre le SAMU pour non-assistance à personne en danger à la gendarmerie de Sées (Orne), localité où ils résident.